L'exposition, un dialogue avec L'Esprit de l'Art
De tous temps, les classes superieures, seigneurs et caciques, ont affirmé leur autorité et leur puissance en recouvrant leur corps de parures et d'ornements qui les distinguent des classes inferieures.
Mais les classes défavorisées également manifestent leur diversité, leur différence dans des arts ornementaux et coutumes qui s'enracinent depuis la nuit des temps dans un monde parallèle.
Les codes, chants, poèmes, arts des orfèvres et sculpteurs, écrits et transmissions orales sont autant d'évènements qui échappent à la connaisssance des élites.
Dans la pénombre du bazar d'Asie Centrale, le claquement de langue connaisseur du vieillard accroupi sur son “tcharpoïl” dégustant le thé brûlant exprime sa satisfaction en la saveur et qualité du breuvage millénaire. Ses mains burinées et calleuses tiennent délicatement entre leur doigts une théière de porcelaine finement décorée affirmant l'élégance du geste.
La jeune fille nomade Kuchi cueille la rose de ses doigts fins et ornés de bijoux d'argents et de cornaline transmis de génération en génération au sein de sa tribu. Son geste est alors des plus gracieux lorsque elle porte la fleur rouge sang à ses lèvres.
Trésors d'Orient, Trésors D'argent
Exposition d’art de Christian BULLEUX
Depuis de nombreuses années, les arts généraux de l’Islam et de son aire d’influence ont suscité un intérêt croissant du public pour les arts nomades et ruraux ornementaux de l’Orient et du Maghreb.
Cette exposition qui regroupe une sélection de ma collection personnelle de plus de 160 objets usuels et bijoux d’orfèvrerie traditionnels des peuples du mouvement et du voyage, se veut un témoignage d’un art populaire nomade peu connu et aujourd’hui sur le point de s’éteindre, mais dont la qualité esthétique présente une parfaite maîtrise de la symbolique héréditaire, de l’ouvrage de la pierre et du métal précieux qu’est l’argent. Si le bijou tribal d’argent est privilégié ici, je n’ai cependant pas écarté les oeuvres de broderies, du cuir et de la céramique.
J’ai réuni cette collection avec patience et amour tout au long de quarante années d´une carrière de grand voyageur et de photographe, passées à partager mon existence avec celles des populations du lointain qui ont bien voulu m’accepter parmi elles.
Patience, car de longues périodes s’écouleront avant que ne se déclenche l’évènement qui fera de moi l’heureux gardien d’un objet familia l ou tribal.Amour, car dès lors que l’objet ou bijou était entre mes mains, il devenait le sceau garant d’un lien indissociable entre son propriétaire et moi, suite à un évènement important qui nous unissait.
Aujourd’hui, à contempler l’objet exposé hors de son contexte familial et culturel, les instants forts et pourtant lointains sont vivaces à ma mémoire… et l’émotion est également dense et intacte.
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Les pièces sont présentées sur socle accompagnées de leur fiche technique.
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Surface d’exposition : 150 à 200 m2. Mise en place et animée par Christian BULLEUX qui sera présent aux jours et heures souhaités par le comité d’organisation, afin de présenter la collection aux visiteurs.
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De nombreux textes sous cadre ainsi que des photographies accompagnent l’œuvre.
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Durée: une semaine a durée supérieure.
LES FORGERONS DU BOIS SACRÉ
Exposition d’art de Christian BULLEUX
C’est à une intéressante exposition de masques et statues africains que nous invite Christian BULLEUX, en nous présentant cette collection réunie par son père après la seconde guerre mondiale, dans les années 1948-52, lorsqu’il était en poste en Afrique Francophone.
Les objets présentés, sous la conduite de l’auteur de l’exposition, portent à la réflexion sur cet art que les occidentaux nomment « premier », mais qui de tous temps fut l’intermédiaire nécessaire entre les ancêtres et la population rurale, agricole et chasseurs africains.
Sous les doigts agiles du forgeron du village, va naître «le bois qui parle» afin que « l’ordre des choses » soit maintenu.
Une exposition de qualité, mise en scène par Christian BULLEUX, qui nous conte une Afrique africaine, qui a largement contribué à éclairer le monde d’un savoir artistique aujourd’hui admiré et reconnu par tous.
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Les pièces sont présentées sur socle accompagnées de leur fiche technique.
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Surface d’exposition : 150 à 200 m2. Mise en place et animée par Christian BULLEUX qui sera présent aux jours et heures souhaités par le comité d’organisation, afin de présenter la collection aux visiteurs.
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De nombreux textes sous cadre ainsi que des photographies accompagnent l’œuvre.
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Durée: une semaine a durée supérieure.
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Fresque de 25 photographies 30x40 couleur sépia, sous cadre.
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Environ 30 objets d’art montés sur socle.
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Surface d’exposition nécéssaire 150 à 200 m2.
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Mise en place et animée par Christian BULLEUX, qui sera présent aux jours et heures souhaité par le comité d’organisation.
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Durée: une semaine à durée supérieure
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Documentation sur demande
HIER, LE SAHARA
Rare document historique et photographique de la période coloniale française au Sahara, réalisé par le Major Arthur BULLEUX, méhariste de la Compagnie des Ajjers, dans les années 1930 – 1940.
Le sujet est articulé autour de la vie quotidienne de la Compagnie Saharienne des Ajjers, balisage des pistes dans le grand Erg, premières tentatives des traversées du Sahara en aéroplane, raids et missions automobiles, méharées, groupes Touareg etc …
Le public pourra également apprécier les photos d’époque de la réalisation du film dont Charles VANEL fut l’un des interprètes.
Cette oeuvre photographique unique en France encadre une somptueuse exposition d’objets d’art Touareg de cette époque, documents administratifs coloniaux etc...
Cette exposition habilement mise en scène par Christian BULLEUX, explorateur, fils d’Arthur BULLEUX aborde sereinement une page d’histoire de deux pays, la France et l’Algérie et permet sous la conduite de son réalisateur de mieux connaître et comprendre son évolution.
Enfin, est également une célébration à la noblesse Touareg en une période ou s’affrontèrent les différences.
Exposition d´Art pré-hispanique El DORADO, L´OR, LA TERRE
L´OR, Le mythe 1535. - Le gouverneur de Quito,Sébastien de Bénalcazar et son compagnon d´aventures, Gonzalo Jimenez de Quesada son pensifs. Ils écoutent...
INDE : TEMPLE des HOMMES et DEMEURE des DIEUX
Exposition photographique et d’art de Christian
Intéressante fresque panoramique de 50 photographies couleur, sous verre, relatant la vie quotidienne du sous continent Indien, de l’hiver à la mousson réunissant dans une large fourchette les architectures monumentales et les cérémonies du sacré.
L’auteur s’arrête plus particulièrement dans les galeries secrètes du HARIMANDIR SAHIB, ou Temple d’Or de la ville d’Amritsar, en 1983, où il pu séjourner plusieurs jours en tant qu’invité des chefs religieux, les KALCHAS.
L’objectif s’attarde devant les impressionnantes scènes funéraires du très protégé site crématoire au pied du TAJ MAHAL.
La fresque encadre une superbe exposition de tissus ançiens des 18 et 19 èmes siècles. Ainsi que des pièces d’art antique hindu et tibétain du Ladak.
Surface d’exposition : 150 à 200 m2
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Exposition mise en place et animée par son auteur, Christian BULLEUX, qui sera présent aux jours
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et heures à convenir avec le comité d’organisation.
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Durée: une semaine à durée superieur
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Documentation: sur demande
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Fresque de 25 photographies 30x40 couleur sépia, sous cadre.
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Environ 30 objets d’art montés sur socle.
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Surface d’exposition nécéssaire 150 à 200 m2.
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Mise en place et animée par Christian BULLEUX, qui sera présent aux jours et heures souhaité par le comité d’organisation.
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Durée: une semaine à durée supérieure
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Documentation sur demande
La dernière frontière – Les indiens Jivaros
La forêt amazonienne est considérée par l'ensemble de la profession scientifique comme l'entité ayant la plus grande biodiversité à l'échelle planétaire. La forêt joue un rôle important en temps que réserve d'oxygène et régulateur des pluies pour notre planète et par conséquent son future est étroitement lié au notre.
D'un autre côté, l'homme d'aujourd'hui se fait un devoir de s'enorguellir de ses incessantes découvertes scientifiques et de fait, croit se situer bien au-dessus de ce qui lui permet justement d´affirmer ses conaissances : la Terre.
Ainsi et malgré ses nombreuses pérégrinations, il n´a toujours rien changé à son état : il lui faut toujours de l´oxygène pour respirer...de l'eau,de préférence sans nitrate ou autre poison pour se désalterer...des aliments, de préference non saturés de pesticides pour s'alimenter. On peut donc observer que notre comportement actuel relève du plus lent et du plus massif suicide collectif de l´histoire de l´humanité.
On peut même affirmer, avec un peu d´amertume que l´Homme n´a pas d´avenir sur cette planète, la seule viable pour notre espèce dans ce système solaire.
(Voir la conférence de Christian Bulleux : Amazonie, à l´aube du XXIème siècle).
EXPOSITION
" AMAZONIE, LA DERNIERE FRONTIÈRE - LES INDIENS JIVAROS "
Les historiens les nommaient "JIVAROS" Ils ont rappelé au monde qu'ils se nommaient "SHUARS OU ASHUARS " (les gens du palmier d'eau). Les historiens ainsi que la literrature populaire les décrivent comme redoutables guerriers.
Redoutables guerriers, en effet. Ils donnèrent du fil à retordre aux conquistadors espagnols qui s'aventurèrent sur leur territoire au 16ème siècle...
La guerre pour les SHUARS est tout un art .
Une vertu cardinale pour se donner du prestige, raffermir les alliances au sein des familles et des clans, renouveller rituellement les âmes. Il faut reconnaître que cet art consommé de la guerre conduite par des guerriers toujours victorieux a su protéger leur territoire de l'incursion des étrangers, avides de possessions et aux ambitions funestes.
Cet esprit de guerrier, de challenger qu'ils prétendent posséder depuis la nuit des temps, c'est adapté aujourd'hui à la réalisation d'organismes juridiques au sein même de la Nation équatorienne afin de résister à la pression exterieure des multinationnales, en somme les nouveaux conquérants et dresser un barrage face à cette expansion dévastatrice qui nuirait fatalement à leur environnement naturel, la forêt amazonienne.
Ainsi, ils démontrent avec audace au monde des puissants qu'un petit peuple forestier habitant la plus riche forêt du monde, farouchement attaché à leur terre ancestrale et a leur mode de vie, peut mettre en échec la politique la plus expantionniste des états occidentaux aux ordres des lobbies financiers.
Ils nous rappellent aussi, à nous les citoyens anonymes, que là-bas,au coeur de la forêt et sous la majestueuse canopée, que des hommes et des femmes
luttent quotidiennement pour un patriomoine qui nous est également et impérativement nécéssaire.